Catégories : GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 5 ans
J'étais désormais en Terminale. J'ai rencontré rapidement en début d'année Valère, un Italiens blond d'1m83 environ, musclé sec, peau bronzée et très sympa. Les plans que j'eu avec lui durèrent jusqu'à la fin de mon année scolaire, et encore aujourd'hui quand nous nous voyons seuls, j'ai le droit à mon biberon quotidien.
Tout à commencé un soir. Nous discutions en sms de choses et d'autre, et comme toujours avec moi, la conversation dévie vite sur le sexe. Il paraissait très ouvert et m'avoua rapidement avoir envie d'essayer le même sexe. Je lui avouais de mon coté avec déjà eu des expériences, et être un peu en manque. La conversation n'alla pas plus loin. Les jours défilèrent, et la question du sexe entre nous revint régulièrement sur le tapis dans les sms. J'hésitais beaucoup à faire des choses avec lui, je l'appréciai beaucoup et mes expériences précédentes m'avaient prouvé que le sexe change tout.
Un samedi soir, je l'invitai chez moi et il me demanda si je pouvais le sucer. Il insista beaucoup, m'expliquant qu'il était en manque et moi aussi, que cela ne changerai rien et que ce serait cool. Je lui répondais au final que nous verrions bien comment se déroulerai la soirée, et que cela dépendrait de mon humeur. Il faut préciser aussi que si j'étais si retissent, c'est parce qu'il avait une copine…
Le samedi, il vint chez moi comme prévu, et après être sortit tout l'aprèm, nous rentrons finalement chez moi. Plusieurs fois il me glissa des allusions, cherchant à savoir si j'étais ok ou pas pour le soir. J'esquivais du mieux que je pouvais toutes ces questions. Tard dans la nuit, au moment de se coucher, il me reposa clairement la question. Je lui réexpliquai rapidement que je n'étais pas chaud (ce qui était faux), que mes parents dormaient à coté, et que je ne voulais rien gâcher. Nous nous sommes donc coucher ainsi, moi sur un matelas au bout de mon lit, lui dans mon lit.
Une fois la lumière éteinte, il m'envoya un sms, me suppliant d'accepter et m'assurant que rien de changerai entre nous et que nous serions discret. Je cédais finalement, c'était au delà de ce que mon excitation pouvait supporter. Je me levais dans le noir, me glissa sous la couette, la tête directement au niveau de son bassin. J'arrivais finalement à tâtons à toucher sa cuisse et son boxer. Je lui retirai lentement, sans toucher son sexe, et de mes deux main remonta le long de ses cuisses. Lorsque j'atteignis finalement sa bite, j'eu un petit frisson : elle me paraissait très très grosse (en réalité, 17x4). Il dut percevoir mon hésitation, car il m'attrapa gentiment par les cheveux, me pressant de le sucer rapidement. Je lâchais prise, et dans cette fournaise sous la couette, commençais ma fellation. Sa bite était légèrement courbée vers son vente, avec un gland énorme et une base très large. Il me tenait pas les cheveux, et fourrait sa bite le plus loin possible dans ma bouche. C'était parfois à la limite de me sentir mal, mais j'appréciais grandement. Au bout de quelques minutes, sans que je m'en aperçoive ou qu'il me prévienne, il m'attrapa fermement les cheveux, plaça sa bite le plus au fond qu'il pouvait, et me déversa son jus dans la gorge. Quand enfin il retira sa bite, je déglutis un coup et avala son jus, très sucré, et d'un goût délicieux. Je retournais sans plus de cérémonie sur mon matelas, pensant dormir. Il m'appela, et s'excusa de ne pas avoir prévenu. Il me demanda si cela me dérangeait de le sucer encore une fois. Je retournais donc sous la couette, mais il se releva, m'allongea, et se plaça assis et nu comme un vers sur mes pectoraux et me fourra sa bite dans la bouche. J'en profitais pour malaxer ses fesses et caresser son torse. Il me baisa littéralement la gueule, se mettant en positon semi à quatre pattes et me bourrant la bouche à une vitesse vertigineuse. J'adorai me sentir chienne. Il se releva finalement et se mit à genoux. Je me mis à 4 pattes devant lui, et attendis qu'il m!
e défonce la bouche, mais à mon étonnement, il se contenta de me caresser les cheveux et de me laisser faire. Je lui prodiguais toute la douceur que je pu, gobant sont gland uniquement en lui léchant le tour, mimant un suçon dessus. Il commençait à haleter, et me dis rapidement qu'il allait jouir. Je me mis à branler sa bite devant ma bouche, et il m'inonda celle-ci de son foutre délicieux, avant de me remettre sa bite en bouche pour que je nettoie.
Nous retournâmes nous coucher et le sujet ne fut plus abordé jusqu'à ce qu'il rentre chez lui. Notre amitié s'en vu renf o r c é , et plus rien ne se produisit.
Un jour, alors que nous décidions d'aller à la piscine avec une amie, il me demanda si j'avais toujours envie de le sucer. J'acquiesçais, et il me proposa de renouveler l'expérience dans les vestiaires avant de repartir de la piscine. Nous avons nagés, et après la douche (il n'y avait presque personne dans les vestiaires) nous nous enfermons dans une cabine. Il se mit debout sur le banc. Je baissais son boxer de bain, et découvris pour la première fois à la lumière du jour sa bite. Elle était très belle, un peu courbée, bien raide à la verticale avec un très gros gland. La encore je lui taillai une pite en m'appliquant, et il me jouit en 5 min dans la bouche après m'avoir caressé la tête et m'avoir gratifié de « putain tu suce bien… c'est bon t'arrête pas… »
Ce petit rituel continua tous les mercredis, chaque fois que nous allions à la piscine. Je lui dis finalement que j'en avais marre du sens unique, et qu'il devrait faire un effort s'il voulait que je continue. Il accepta, et me demanda s'il pourrait m'enculer. Je lui répondis que cela dépendrait de ce qu'il me ferait.
Une après midi, alors que nous étions partis nous promener dans les bois pas loin de chez moi, il m'attrapa par les hanches, se colla dos à moi et m'embrassa dans le cou. Un peu surpris, je lui dis que n'importe qui pouvait nous surprendre. Nous sommes sortis du chemin, nous cachant derrière une bute. Il me baissa mon pantalon et mon boxer, et à mon grand étonnement prit directement ma bite en bouche. Je le laissai faire, et savourais la délicieuse fellation qu'il me faisait. Il s'y prenait très bien, réussissant à prendre la quasi totalité de ma bite. Il me regardait en même temps qu'il me léchait le gland, me lançant des regards pleins de désirs. Je ne mis pas longtemps à lui faire la même chose. Je le suçais du mieux que je pouvais, et bientôt il me déversa une quantité incroyable de foutre chaud et sucré au fond de la bouche. Il me releva, et avant que j'aie eu le temps de savourer son jus, il me roula une pelle magistrale, goûtant à son propre sperme par la même occasion. Il se remit à genoux et me rendit la pareille et je lui déversais mon foutre chaud dans sa bouche. La encore il me roula une pelle, et je goûtais à mon propre sperme. C'est en rigolant que nous sommes revenu chez moi, prêt à de nouvelles expériences.
Le soir même je dormais chez Valère car il avait la maison pour lui seul. Il me prépara des carbonara, et nous avons maté un film tranquillement dans son salon. En plein milieux du film, il me demanda soudainement s'il pouvait aller plus loin avec moi. Je fis l'autruche et lui demanda ce qu'il entendait par la. Il me dit simplement « bah te faire l'amour quoi ». Sur cette belle réponse je lui répondis qu'il pouvait. Il s'approcha de moi, m'attrapa le visage et m'embrassa avec passion. Lentement nous nous sommes déshabillés mutuellement, parcourant nous corps avec nos mains. Bien vite, une fois nu, je lui grimpais dessus, lui assis sur le canapé et moi à califourchon sur lui. Nos bites se frottaient, et bien vite il m'attrapa les vesses et commença à me doigter. C'était un peu maladroit, mais pas mauvais quand même. Je le laissais faire tandis que lentement, je le branlais et me frottais la bite contre la sienne. Il m'attrapa par les fesses et me porta jusque dans sa chambre. La il m'allongea sur son lit, et commença à me lécher le nombril, remontant jusque mes tétons. Il me les mordillait tour à tout, ponctuant ses suçons de caresses. J'étais sérieusement excité, et bientôt je lui demandais de me préparer au plus vite pour qu'il me prenne. J'écartais les jambes et me les attrapait, tandis qu'il commençait à me lécher la raie avec fougue. Il attrapa du lubrifiant dans sa table de nuit, m'en enduit le trou ainsi que ses doigts, et inséra lentement son index. Il remuait en moi, écartant mon cul. Il mit rapidement un deuxième doigt, suivit d'un autre et d'un quatrième. N'en pouvant plus, il s'arrêta pour finalement rentrer d'un coup en moi. Après quelques secondes de douleur, je réalisais qu'il ne bougeait toujours pas. J'enlaçais mes jambes autour de lui, et lui fis un signe de tête pour qu'il commence. Il me regarda, et me demanda d'attendre un peu car il se sentait bien comme ça. Je l'embrassais, et au bout d'une minute ou deux, il commença un léger va et vient. Je gémissais, il me branlait en même temps !
et l'extase n'était pas loin pour moi. Il m'attrapa une jambe et la passa sur son épaule, en entama une série de va et viens à la limite de sortir, et retournant droit et lentement au fond de moi. J'avais envie de plus, de me faire déchirer pas sa grosse bite. J'étais maintenant habitué à sa présence dans mon cul, et dans un gémissement je lui demandai d'accélérer, de faire comme bon lui semblait. Il ne se fit pas prier. Sans se retirer de moi, il me releva le cul, si bien que lui était debout, moi la tête en bas et le cul empalé sur sa queue. Il démarra un va et vient qu'il accéléra de plus en plus. Toujours sans se retirer de moi, il me fit pivoter et je me retrouvais couché sur le coté, lui derrière moi. Il se retira, et m'enfonça de nouveau d'un coup sa bite. Je poussais un petit cri de plaisir, il me tenait la jambe tandis qu'il s'enfonçait lentement mais au maximum en moi. Je me suis finalement mis en levrette. On aurait dit qu'il n'attendait que ça, il posa son énorme gland à l'entrée de mon cul, et f o r ç a d'un coup. Je criais de jouissance, il recommença plusieurs fois, s'amusant parfois à juste rentrer son gland, parfois juste le frotter, et parfois s'enfonçant lentement. N'en pouvant plus, je bougeais mon bassin pour qu'il accélère. Il me demanda « tu en veux plus ? » je criais un oui. Il me répondit simplement « ok, comme tu veux. Je te préviens juste que je ne suis pas près de jouir, dons attend toi à ce que ça dure. »
C'est alors qu'il commença à me défoncer le cul, me pilonnant, me martelant de son gourdin. Il n'y allait pas de main m o r t e, et je le soupçonnais d'en rajouter un peu. Mais peu importe, il m'enculait dans tous les sens, f o r ç a nt en haut, en bas, sur les cotés, etc. je jouissais complètement, et sans même me toucher je déversais pour la première fois moi foutre sur son lit. Il accéléra encore plus le mouvement, profitant que je contractais mon anus au maximum, faisant claquer ses couilles sur mon cul et me faisant faire des bons en avant. Il déversa quelques temps plus tard ce qui me parut être des litres de foutre dans le fond du cul. Quand il se retira, je sentis son jus dégouliner de mon anus. Il rigolât, et nous allâmes tout deux prendre une douche, dans laquelle il me re-défonça pendant ce qui me parus être une éternité. Il gicla une seconde fois dans mon cul, et me suça jusqu'à avaler mon sperme. En sortant de la douche, j'avais l'impression de marcher en canard, et en retournant dans sa chambre nous nous sommes rendu compte que cela faisait plus de 2h30 que nous baisions.
Il s'endormit finalement collé contre moi et durant la nuit, me remit sa queue au fond du cul, pour finalement se rendormir.
Cette nuit de sexe intense ne se reproduisit que rarement les deux ou trois mois qui suivirent, cela me gênait horriblement, il avait une copine et je l'avais rencontré et beaucoup apprécié. Bref c'était compliqué, et même si j'avais très envie de lui, je ne pouvais pas le laisser tromper sa copine avec moi. Bien vite je me suis un peu éloigné de lui, afin que cela ne se reproduise plus.
Jeune Passif
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Il a un très beau cul sur la photo, cela donne envie |
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